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Civilization Beyond Earth

La Terre est le berceau de l'humanité, mais on ne passe pas sa vie entière dans un berceau. Constantin Edouardovitch Tsiolkovski


Civilization Beyond Earth (que nous appellerons CBE pour la suite du test) est le dernier rejeton de la grande famille des Civilization, célèbre franchise de jeux de gestion d'empire au tour par tour. On retrouve donc le duo Firaxis/2K aux manettes, enfin à la souris vu que le jeu n'est disponible que sur PC et sur MAC. Reprenant en grande partie les acquis de Civilization V, CBE est-il un addon dans l'espace vendu au prix fort ou un vrai jeu capable de prolonger la série et de renouveler cette dernière?

un petit pas pour l'Homme...
Les différents trailers du jeu ont permis de poser le scénario de départ de votre quête pour un nouveau foyer. Ainsi, à la suite des guerres et des troubles ayant eu lieu sur Terre (et dont vous êtes responsable vous le tyrannique joueurs de Civ V) , notre home sweet home est devenu peu habitable pour notre espèce. Dans un dernier espoir de se forger un avenir rieur, l'Humanité envoi des colons s'installer sur une lointaine planète et c'est là que vous intervenez.

Forcément, avant de jouer il vous faudra paramétrer un minimum votre partie et c'est là qu'on peut repérer et apprécier (peut être) les premiers changement. Si les paramètres liés aux cartes évoluent peu (ressource, type de terrain, nombre d'adversaire etc etc) et se contentent d'être renommés à la sauce space-op, le jeu vous permet de vous créer votre propre "nation" et de choisir soigneusement les bonus avec lesquels vous voulez débarquer. Par exemple un peuple ayant un bonus en santé, des artisans pour mieux produire ou encore débuter la partie avec un ouvrier. De coin compenser le manque apparemment de choix qu'offre les quelques leaders/nations disponilbes (Franco-Ibérie, ARC, Polystralie, Brasilia...).

la faune locale est visiblement hostile
Une fois c'est première partie terminée, vous pouvez commencer votre nouvelle vie sur votre nouvelle planète. Si l'esthétique du jeu assure le dépaysement, les mécanismes de début de partie ressemble à si méprendre à ceux que vous avez eu l'occasion de mettre en œuvre dans Civ 5. A un détail près (et je ne parle pas des tentacules de votre nouveau voisin), l'arbre des technologies. Fini l'arbre linéaire obligeant à développer toutes les technologies disponibles pour s'en sortir. Vous aurez ici à utiliser une sorte de toile des technologies fonctionnant avec des technologies dites de "nœuds", comprendre apportant des changements importants et ouvrant sur d'autres technologies de "nœuds" et des sous-technologies, directement liées à leur nœuds et permettant de spécialisé sa nouvelle société dans une direction et surtout dans une affinité.

Car il faut que je vous parle des affinités. Aux nombres de 3, elles symbolisent la philosophie que vous voulez donner à votre colonie. L'Harmonie, c'est à dire l'intégration et l'adaptation à votre nouveau monde, la Pureté qui vise à re-faire la Terre sur votre nouvelle planète et la Suprématie, le règne de la technologie et des machines. Reparties en 18 niveaux, les affinités modifient l'apparence de vos villes mais vous permettent également de faire évoluer vos unités via des bonus spécifiques (sans parler des unités spécifiques). Par exemple, la Suprématie offre des bonus aux unités évoluant à proximité d'alliés alors que l'Harmonie vous offrira des bonus si vos unités sont isolés. Bref de quoi faire encore plus coller votre civilisation à votre style de jeu. Les affinités apportent également des victoires différentes.

ça ressemble à du Civ 5 et pourtant...
Pour parler rapidement des victoires, sachez qu'en plus de la victoire par domination et par contact (équivalent de la victoire scientifique), vous aurez une victoire différente en fonction de votre affinité. Une chose que j'ai vraiment apprécié dans le jeu c'est les victoires par étapes et par quête (sauf pour domination). Par exemple la victoire par contact vise à prendre contact (logique vu son nom) avec une autre espèce intelligente. Mais avant de construire une balise capable d’émettre des signaux vers ces hypothétiques confrères, il faut d'abord avec des preuves de leur existence que vous obtiendrez en explorant le monde avec vos explorateurs ou en scrutant l'espace avec vos télescopes. Un système simple qui permet de dynamiser les courses à la victoire.

On retrouve également ce système lors des nombreuses quêtes que vous proposera le jeu. Ces dernières permettent de gagner des bonus pour spécialiser, améliorer et au final personnaliser votre empire naissant.

En plus des affinités, on retrouve le système des doctrines reparties pour le moment en 4 grandes familles : militaire, scientifique, développement et industrie. Là encore, les développeurs amènent une bonne idée avec les synergies. Obtenir toutes les doctrines de la branche militaire apportent un bonus mais obtenir toutes les doctrines de niveau 1 (les doctrines sont reparties en 3 niveaux) dans les 4 branches donnent également un bonus. De quoi cassez la linéarité dans l'acquisition des doctrines surtout que certaines sont accessibles assez rapidement même en état de niveau 2 ou 3. Concrètement cela permet de picorer en fonction de nos besoins mais obligent également le joueur à faire des choix dans son développement et à s'y tenir.

vous l'aurez l'occasion de terraformer votre nouveau monde
Ce qui peux d'ailleurs poser problèmes, le jeu étant un peu avare en conseil sur cet aspect "long terme" lors de la première partie. Je m'explique. 
Rien dans la toile des technologies ne permet de repérer les technologies menant à telle telle victoire. Et rien dans l'arbre ne permet d'identifier rapidement les technologies permettant l'exploitation de telle ou telle ressource. Toujours dans le même registre, personne ne vous indiquera que telle affinité demande plutôt telle type de ressource...
Par exemple, si vous vous dirigez vers une civilisation "Suprématie", sachez que la Firaxite sera votre ressource vitale tant pour les unités que pour les bâtiments. Du coup, votre base de départ et sa région proche conditionneront en partie l'affinité la plus "aisée" pour vous.
En effet, si votre région proche est riche en titane (ressource de la Pureté), autant éviter de partir sur de la Suprématie (sauf si vous voulez du défi). Et l'ordinateur étant plutôt efficace et agressif, vous n'aurez pas le luxe de trop panacher les affinités.

L'ordinateur, enfin l'IA, est particulièrement agressif. Si vous avez un voisin qui ne partage pas votre affinité, attendez vous à être très très souvent en conflit. Ces derniers sont des expériences très couteuses en ressource première et en argent (ici appelé énergie) et il n'est pas rare que votre grosse offensive de la mort qui tue ne comprenne que 4 ou 5 unités. Les villes sont d'ailleurs suffisamment résistante pour se défendre pratiquement toutes seules. Pour continuer sur un registre plus diplomatique, vous pouvez échanger des ressources, des accords et de l'énergie contre des faveurs. L'occasion de garder des atouts plus tard comme par exemple convaincre une nation tiers de rentrer en guerre à vos côtés ou forcer la main dans une négociation commerciale mal engagée.

Pour continuer avec les IA, vous aurez l'occasion de marchander (ou d'annihiler) des stations commerciales, héritières des cités-états de Civ 5. Il convient également de ne pas oublier les habitants originels de votre nouvelle planète, les aliens. Version moderne des barbares, ces derniers peuvent devenir un grave problème de sécurité nationale tant ils peuvent se montrer nombreux et agressifs. Définitivement votre nouvelle planète est un monde hostile!

les miasmes sont une menace en plus des aliens. probablement la plus dangereuse!
Enfin, quelques mots sur "l'aspect" du jeu. Musicalement parlant ça tient la route. Les différents thèmes musicaux font vraiment SF même s'ils ne sont pas inoubliables. Graphiquement le jeu est propre mais un peu terne. Ça manque de dépaysement et les différents mondes finissent vite par se ressembler. Idem avec les aliens disponibles uniquement en vert. C'est dommage et ça gâche un peu la plaisir de jeu, en éliminant très vite le côté "space-op" pour nous replonger dans un simple Civilization dans l'espace. C'est déjà pas mal mais un peu plus de "rêve" aurait été le bienvenu. 

Alors est-ce que ce jeu est un bon héritier d'Alpha Centaury? Aucune idée, j'ai jamais joué à son très lointain ancêtre. Est-ce un add-on caché de Civilization V? Certainement pas. Si Beyond Earth n'est pas une révolution, c'est une évolution intéressante et souvent innovante, une sorte de bouffée d'air frais pour une licence qui ronronne parfois un peu trop. Une sorte de prise de risque qui nous montre que Firaxis ne dort pas trop sur ces lauriers. Néanmoins si la SF vous rebute restez sur Civ 5 (et ses mods). Si vous êtes un joueur néophyte ou un vétéran cherchant un peu de nouveauté, embarquement immédiate vers l'infini et au delà!

Assassin's Creed IV Black Flag



Depuis 2007, la série Assassin's Creed s'est taillée une solide réputation et nous a permis de visiter le Moyen-Orient du temps des Croisades, l'Europe de la Renaissance (enfin surtout l'Italie) et les Amériques. Fort de son succès, la série se décline maintenant en roman et en bande-dessinées, sans parler des innombrables objets dérivées (figurines, t-shirt...). Pourtant, malgré une réussite à faire pâlir de nombreux studios, la série Assassin's Creed est passée pas loin du désastre lorsqu'il a fallut renouveler son héros fétiche, Ezio Auditore.

Si le combat entre les Assassins et les Templiers commencent sous les lames d'Altaïr, c'est bien Ezio qui a donné ses lettres de noblesse à la saga via un Assassin's Creed 2 grandiose suivi d'un Assassin's Creed 2: Brotherhood tout aussi bon (même si j'ai une préférence pour AC2). Cependant, le vieillissement du héros (et un épisode plus que moyen, Assassin's Creed 2: Revelation) conduise les équipes d'Ubisoft à envisager un nouvel héros et une nouvelle époque.




Le joueur quitte donc les fastes de l'Italie renaissante pour le rude nouveau monde dans la peau d'un héros mi-Anglais mi-Mohawk, Connor Kenway (ou Ratohnhaké:ton en indien). Si la qualité scénaristique globale du jeu ou encore son gameplay innovant ne sont pas en cause, l'absence totale de charisme du héros ne lui permet pas de prendre la place d'Ezio dans le cœur des fans de la série.

Ubisoft, qui a fait d'Assassin's Creed une licence annuelle en profite alors pour annoncer la venue d'Edward Kenway, un pirate des caraïbes lors de la grande époque des Pirates! L'occasion pour la série de prendre un nouveau départ?

Ce sixième (gros) jeu Assassin's Creed, nommé officiellement Assassin's Creed Black Flag ou Assassin's Creed IV Black Flag est sortie à la fin de l'année 2013 sur les deux consoles de Sony, de Microsoft, sur Wii U et sur PC.


Le jeu débute donc en 1715 dans les Caraïbes, en plein age d'or de la Piraterie et des Corsaires et autres Flibustiers. Les grands empires européens (ici les Anglais et les Espagnols) se livrent une guerre sans merci pour le contrôle des richesses du nouveau monde. Comme les autres jeux de la série, AC4 se divise en deux parties, l'une en 1715 via l'Animus et l'autre dans le monde réel où vous travailler pour le compte d'Absergo Entertainment, un studio de développement de jeux basés sur la technologie de l'Animus.



Si la partie "Animus" du jeu se déroule avant les évènements d'AC3 (vous incarnez le grand-père de Connor), la partie "dans le monde réel" se déroule après les évènements d'AC3. Mais chut, je n'en dirais pas plus pour ne pas vous spoiler. Sachez cependant qu'en dépit des évènements d'AC3 la partie "monde réel" reste cohérente et renouvelle réellement la série!

Mais revenons à AC4. Si AC3 a globalement déçu les fans, tous s'accorde à dire que les combats navals étaient l'une des grandes qualités du titre. Du coup la sortie d'un opus sur la piraterie place ces derniers au coeur du gameplay et très vite le joueur aura l'occasion de posséder son propre navire et de naviguer sur les mers des Indes de l'ouest.
La partie navigation reste très proche dans l'esprit de ce que l'on pouvait déjà avoir dans AC3, elle a juste été "renforcée" pour devenir l'élément majeur du titre. Vous aurez donc l'occasion d'améliorer votre navire ce qui comprends à la fois ces caractéristiques que son apparence. Évidement, si l’apparence reste anecdotique, l'amélioration des caractéristiques est vitale pour quiconque veut arpenter les mers et se livrer à la piraterie.




C'est d'ailleurs le gros point fort du jeu mais l'ambiance "pirate" est très présente et surtout immersive. Par exemple vos marins peuvent chanter différentes chansons de typiques des marins de l'époque lors des séquences maritimes. Pour cela vous devrez trouver les partitions dans différents lieux. Autre exemple, pour améliorer votre navire vous aurez besoin de plan que vous trouverez grâce à des cartes aux trésors ou dans des coffres disséminés un peu partout. Mais si jamais vous devenez un pirate trop "célèbre", des chasseurs de pirates se lanceront à vos trousses et autant vous dire qu'ils peuvent être très coriace.

En effet, votre navire n'est pas le seul à évoluer. Si les différents bâtiments que vous allez rencontrer ne changent pas par leur type, il progresse en niveau. Vous aurez donc l'occasion de croiser le fer avec des Canonnières, des Schooners, des Bricks, des Frégates et des Man o'war, véritable forteresse flottantes regorgeant de richesse si vous êtes assez fou pour les attaquer.
Très bien ficelé, les combats en haute mer sont rapidement intense, surtout contre plusieurs adversaires ou quand le mauvais temps se lève, car oui, la météo change dans AC4 et parfois très vite. Sans rien comprendre vous passerez d'une mer d'huile à une mer déchainée ou vous éviterez les tornades autant que les boulets de canons des navires adversaires. Vous aurez également l'occasion d'aborder les navires de vos ennemis pour terminer les combats sur le pont de votre proie. 





Rassurez-vous, la partie "terrestre" n'est pas oubliée pour autant. Si le choix des armes et des armures me semble moins vaste que par le passé (mais largement suffisant), il est intéressant de noter que certaines améliorations ne peuvent s'obtenir que par l'artisanat comme par exemple le renfoncement de votre "armure". Vous devrez donc passer par la chasse des animaux de la région, sur terre ou sur les flots. Si jamais cette partie ne vous plait pas, vous aurez toujours l'occasion d'acheter les différentes peaux et fourrures dans les commerces locaux, permettant aux joueurs de ne pas s'attarder sur une "quête" qui ne les intéresse pas (ce qui est mon cas par exemple). En effet, si la chasse aux animaux aquatiques est rigolote 5 minutes, je la trouve plutôt lassante et répétitive, idem pour les animaux terrestres. Il est bien plus intéressant de se concentrer sur le pillage des navires et d'acheter ensuite les "ingrédients" nécessaires pour se confectionner des tenues.

Pour les combats au sol (et sur le pont des navires), on retrouve du AC3 pur jus c'est à dire des combats relativement nerveux, des classes d'ennemis différentes (le standard, le gros qui fait mal, le rapide etc etc) et une absence totale d'innovation. Et des ennemis qui globalement font la queue pour vous attaquer, comme dans tout les épisodes de la série. D'ailleurs l'IA ne brille pas vraiment. Vous pourrez encore et toujours assassiner des soldats devant des gardes sans que cela choc et parfois, vous vous ferez griller par une sentinelle à 1km de distance ou derrière un mur. A force ce genre de bug ou d'absence d'optimisation devient lassant. Idem avec le concept de parkour qui irrite plus souvent qu'il n'aide. C'est plutôt stressant de voir Edward s'accrocher à toute les surfaces sauf à la bonne sous prétexte que la touche "course active" est active. Alors ok, c'est pas forcément une mauvaise idée mais y'a eu AC3 entre temps et ils auraient pu travailler dessus.


Graphiquement, AC4 est beau sans pour autant vous mettre une claque (c'est le même moteur graphique qu'AC3 à savoir Anvil Next). Avec un ordinateur un peu puissant vous n'aurez pas d'aliasing et les textures seront propres. En revanche certains filtres et effets de particules peuvent mettre votre PC à genoux en raison d'une optimisation pas toujours heureuse. Globalement le titre est beau avec une animation de l'eau toujours aussi impressionnante et une attention particulière portée à l'ambiance des lieux mais aussi des personnages. Je veux dire que les pirates "font" pirates. Les gros navires sont réellement gros et on prends son pieds à parcourir les mers au soleil couchant juste parce que ça à la classe. Musicalement c'est pareil, un sans faute. La VF est de très bonne qualité (jouant sur PC j'ai pu zapper entre VF et VO), heureusement d'ailleurs pour un jeu édité par une boîte française. Comme dit plus haut, les chants pirates que l'on peut entendre lors des traversés plongent un peu plus le joueur dans l'ambiance. Si en plus vous avez un verre de rhum à portée des narines, vous y serez!

Si AC3 était assez permissif avec la furtivité, certaines missions missions d'Assassin's Creed Black Flag seront très exigeante sur votre discrétion ou sur l'accomplissement d'objectif précis dans un ordre également précis. Une bonne nouvelle qui confirme ce que l'on avait pu voir avec le dernier Splinter Cell, à savoir qu'Ubisoft a bien compris que les gamers aimaient le challenge. Dans la suite des bonnes nouvelles, les quelques missions sous-marines qui vous proposent, ambiance pirate oblige, de visiter des épaves échouées grâce à une cloche de plongée. La gestion de la barre d’oxygène mais également des animaux dangereux (requins, murènes, méduses et oursins) est une combinaison efficace et si l'ensemble ne réinvente pas la poudre, il permet de varier les gameplay et vous procurera quelques sueurs froides si vous planifiez mal votre voyage chez les sirènes.




Après deux épisodes moyens, Ubisoft revient en force avec les pirates et surtout Edward Kenway. L'histoire est très bien écrite et replonge le joueur dans les méandres de la lutte entre Assassins et Templiers tout en parvenant à renouveler la série. Évidement l'ensemble n'est pas parfait et j'aimerais vraiment qu'ils travaillent sur l'IA ou sur le gameplay "au sol" pour le prochain opus mais la partie scénaristique et ambiance du jeu fait largement le travail, ce que je trouve plutôt rassurant pour la suite. Ubisoft a encore des idées et les moyens de ses ambitions. L'âge d'or des pirates est sans doute possible une bien meilleure époque que l'Indépendance américaine pour ce genre de série!

Pour résumer, Assassin's Creed Black Flag signe le retour en force de la série et nous offre enfin un héros charismatique capable de rivaliser avec Ezio. Si le jeu n'est pas fondamentalement révolutionnaire, il reprends à merveille les différents éléments de la série et se permet d'en rajouter de nouveau, ce qui permet de rester optimiste sur la capacité de la saga des Assassins à durer. D'ailleurs et c'est un signe qui ne trompe pas, AC4 est le jeu de la série, avec AC2 où j'ai le plus d'heure de jeu et de succès tellement j'ai pris plaisir à parcourir les mers à bord du Jackdaw.


Dans les bons points je citerais:

+ les combats navals, vraiment excellent dès qu'on progresse un peu
+ le héros charismatique
+ l'histoire passionnante et les nombreux personnages secondaires bien écrit.

Qui dit "bon point" dit mauvais points:

- l'IA lors des combats et des phases d'infiltration
- des bugs gênants pour un AAA avec un ancien moteur graphique (cf youtube et le syndrome de Moïse)



PS: si vous avez l'occasion de trouver une édition collector comme celle disponible sur le site d'Ubisoft, foncez, elle est vraiment riche (figurine, bande-originale, carte de la région, tableaux, lithographies, boitier métal et drapeau pirate)
Les différentes images sont des captures d'écrans de ma partie, sans ajout de mods graphique.

Sine Mora




Pour inaugurer ce nouveau blog, autant commencer par une vidéo présentant le shoot'em up Sine Mora.